Julie Rosiaux

Présentation

Née en 2006, Julie baigne dans les histoires de ses parents dès son plus jeune âge. En grandissant, elle lit de plus en plus pour assouvir sa soif d’imaginaire. Les livres défilent, elle s’abîme les yeux la nuit en lisant en cachette à la lumière d’une toute petite veilleuse. Tandis qu’elle apprend à écrire, elle découvre la possibilité de créer elle-même ses histoires. Dans un classeur orange s’accumulent des copies doubles griffonnées au crayon à papier : des idées qui s’enchaînent, de courtes histoires maladroites et chargées en fautes de grammaire. Mais elle persévère, s’inspire de ses livres préférés, jusqu’à ses quatorze ans où elle prend contact avec l’auteur d’Interfeel, Antonin Atger, qui lui conseille de s’entraîner sur des formats courts comme la nouvelle au lieu de foncer tête baissée, comme elle le fait si bien, dans des ébauches de romans qui finissent bien vite abandonnées. Elle inaugure alors un «  carnet spécial nouvelles  » suivi de nombreux autres. Julie se prend de passion pour le format court, elle multiplie les nouvelles en écrivant tous les jours, s’essaie à la poésie, en prose, puis en vers. Les idées fourmillent, la rattrapent, elle doit sans cesse les noter pour ne pas qu’elles lui échappent. En Terminale, elle se sent plus assurée et, sans abandonner ses chers formats courts, elle écrit une pièce de théâtre et entame l’écriture d’un roman. Aujourd’hui en khâgne, elle essaie de se prévoir des temps d’écriture entre les lectures obligatoires, les devoirs et les cours, et dans sa trousse, elle a une réserve plutôt impressionnante de bouts de papier découpés dans laquelle elle puise pour gribouiller quelques lignes quand l’inspiration pointe le bout de son nez.

Et dans le Prisme ?

(Cliquer sur les images pour consulter les projets)